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On pouvait irréfutablement utiliser le mot « pilier » en évoquant le nom de Me Guy Mercier au sein de la grande famille de SOQUIJ (Société québécoise d’information juridique). Il y a détenu pendant 27 ans un siège au sein du conseil d’administration et il en a assumé la présidence au cours des 14 dernières années. À 73 ans, le notaire tirait sa révérence le 18 mars 2014, avant la fin de son mandat, pour goûter plus de temps avec ses petits-enfants.

Difficile de trouver plus grand ambassadeur du notariat que Denis Paré. Tout en poursuivant une carrière prolifique à Sherbrooke, Me Paré cumule postes et fonctions. Et pas des moindres. Il est notamment vice-président du Mouvement Desjardins, où il travaille en étroite collaboration avec Monique Leroux, la présidente. Rencontre avec un passionné selon qui les notaires doivent davantage faire leur marque dans la société.

Elle portait en elle cette flamme affable qui la poussait à donner son temps et son cœur aux femmes et aux jeunes démunis, même si la plus grosse part de ses journées était consacrée à la défense des droits de la famille. Me Rajpattie Persaud est décédée en 2011 mais sa grandeur est immortalisée, incarnée dans l’un des prix de l’ABC-Québec.

Il est presque sacro-saint, depuis belle lurette, dans la profession juridique comme chez les professionnels de la santé : le secret professionnel jouit d’une protection quasi-constitutionnelle incontestable.

Près d’une soixantaine de paires d’yeux d’étudiants en droit étaient rivés sur le président de l’ABC mercredi dernier (le 19 mars 2014)… et non pas captivés par un petit écran mobile! Dans une salle de cours de l’Université McGill, Me Fred Headon a levé le voile sur les deux projets phares de l’ABC, « Avenirs en droit » et « Justice pour tous », mais également sur sa mission et les avantages d’en être membre. L’objectif? Convaincre les futurs juristes de se rallier dès maintenant à l’ABC.

Les mots qui ont occupé la plus grosse part du temps consacré à la dernière réunion du Conseil de l’ABC-Québec, le 19 mars 2014, sont sans aucun doute accès à la justice et avenir en droit… C’est que ces mots constituent l’épine dorsale des deux projets sur lesquels planche le national depuis 2012 : la consultation sur l’avenir des professions juridiques et les recommandations pour améliorer l’accès à la justice.

Le commerce transfrontalier ne cesse de subir des mutations et la contrefaçon change aussi ses couleurs : les lois qui s’y rattachent doivent donc être remaniées pour conserver leur mordant. C’est l’un des buts du projet de loi C-8, qui modifiera la Loi sur les marques de commerce et la Loi sur le droit d’auteur.

Dans le récent arrêt R. c. Babos, 2014 CSC16, la Cour suprême se prononçait – à nouveau – sur l’opportunité ou non d’arrêter les procédures dans un cas particulier. L’intérêt de la décision porte sur les commentaires d’ordre général qui s’en dégagent et qui sont toujours utiles aux pénalistes, de même que sur une fracture de plus en plus apparente au sein de la Cour.

Le Concours Pierre-Basile-Mignault est une compétition de plaidoirie qui oppose les six facultés canadiennes de droit civil. La Coupe du Barreau canadien (Division du Québec) est attribuée au 2e meilleur plaideur et elle est assortie d’une bourse de 300$. Elle a été attribuée cette année à Marc-Antoine Picotte, étudiant à l’Université Laval.

Selon l’ABC, le projet de loi C-54 - Loi sur la réforme de la non-responsabilité criminelle, ne propose pas un équilibre approprié entre la sécurité du public et la liberté individuelle lorsqu’il s’agit de déterminer comment traiter au mieux les accusés déclarés non criminellement responsables pour cause de troubles mentaux.